Giraglia 2014: Le grain de sel du cuistot.
Sensations de course, pour les détails techniques voir les comptes rendus des spécialistes.
Il est à noter une année exceptionnelle, la bonne humeur indéboulonnable du skipper qui n’a pas sorti le chat à neuf queues, ni passé d’équipier à la planche, et aucun équipier empoisonné ou intoxiqué par le cuistot.
Nous partîmes huit, et nous retrouvâmes sept…. (bon je sais la parodie est un peu lourde).
Si vous préférez, nous partîmes le 15 avec un temps maussade, mais le beau temps nous avait retrouvé en arrivant à st Tropez.
Le dimanche on l’a joué style ” Blanche neige et les sept nains “, (désolé Carole), pour moi ce sera Simplet (j’ai toujours eu beaucoup d’affection pour ce dernier, pour les autres choisissez celui qui vous plaît), journée houleuse mais profitable, nous serons 13eme ça aurait dû nous porter bonheur.
Lundi et mardi respectivement 12e et 11e, put…. avec 70 jours de course en plus on arrivait 1 er ( non là je déc….. ).
L’ambiance habituelle bonne humeur, soirée de gala sympa mais soumise au bombardement des fientes de mouettes, avec dommages collatéraux. Le repas grignotage à tous les étages, qu’il est loin le temps où nous étions servis à table.
Feux d’artifice écourté mais dense (c’est pas plus mal), soirée très fraîche, on pourra remercier Joseph qui ira gentiment chercher des vestes au bateau.
Soirée remise des prix (cette année encore on n’a rien eu, (ça aussi ça devient une tradition)). C’est là que l’on vérat verra les plus astucieux et patients, rapporter des assiettes de victuailles aux copains.
On côtoiera même Marc Pajot, et autres célébrités, puis comme tous les ans on sacrifiera à la tradition, manger une glace chez Barbarac (Put… quelles sont bonnes)(1).
Mercredi 18, départ pour la Giraglia, avant le départ on fera le tour du Jean de Vienne, de la Royale (pas Ségo) venu pour l’occasion (y avait pas de bâtiment neuf), désolé.
Comme tout les ans on regardera partir les Monstres, toujours impressionnant. Puis ce sera pour nous.
On ramera un peu pour rejoindre la bouée de virement, puis cap sur la Gira, de la bouée à la Gira en 24h. Avec la nuit le bateau entouré au loin par les lucioles des feux de mâts des concurrents, onirique.
Virement de la Gira vers 17h, on prendra quelques paquets de mer, confection avec Alain d’un casse-croûte acrobatique, vu l’état de la mer, nuit très secouée, arrivée à Monaco avec la pétole habituelle le lendemain aux environs de 9h.
Nous essayerons de grignoter quelques choses, mais le service ne sera pas digne des années précédentes.
Visite express du «Rocher», puis pour cause de «Mondial», des traîtres attacheront le cuistot à ses fourneaux, pour qu’il concocte un repas, alors que plein de victuailles seront servies sur la jetée.(2)
Bon ne soyons pas rancunier, ce fut une jolie régate.
(1) NDLR nous sommes désolés du vocabulaire du rédacteur.
(2) et en plus le cuistot il déteste le foot.
— Amicalement Maurice MB-) |